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Rencontres du troisième type

 

 

 

 

 

 

La Mariée était en noir

Après une tentative de suicide Julie Kohler quitte mystérieusement son domicile et commence une traque méthodique pour retrouver cinq hommes. Cette recherche n'a qu'un seul but : assouvir une vengeance dont la raison se situe dans son terrible passé.

 

 

 

La Sirène du Mississipi

Modernisé et francisé, le beau roman de l'écrivain américain William Irish a inspiré à François Truffaut l'un de ses films les plus atypiques, au point de dérouter un certain nombre de ses admirateurs. Pourtant, ce thriller étrange et romantique possède une indéniable poésie, fondée sur la folle passion amoureuse qui unit Jean-Paul Belmondo à une Catherine Deneuve plus mystérieuse et plus troublante que jamais, et soulignée par un superbe accompagnement musical d'Antoine Duhamel. C'est cette poésie qui en faisait significativement l'un des films préférés de Léo Malet. On peut donc considérer qu'il s'agit là de l'une des oeuvres les plus personnelles de Truffaut, ne serait-ce que parce que le cinéaste en a écrit seul le scénario et les dialogues, contrairement à son habitude.

 

L'Histoire d'Adèle H.

Halifax, 1863. Miss Lewly, une jeune femme d'une vingtaine d'année, cherche à se loger. Son véritable nom est en fait Adèle Hugo, la fille de l'écrivain. Déterminée et passionnée, elle suit sans relâche l'homme qu'elle aime désespérement, le lieutenant Pinson. Malgré ses nombreux refus de l'épouser, elle continuera à le pourchasser de façon obsessionnelle jusqu'à la Barbade, où elle sombrera dans la folie.

 

L'Argent de poche

Témoin sensible des petits maux de tous les jours, François Truffaut revient à ses premières amours et à l'un de ses sujets de prédilection : l'enfance. Eloigné de la dramaturgie et, surtout, de l'inspiration autobiographique flagrante des 400 Coups, L'Argent de poche tient d'une chronique douce amère d'une petite ville de province, nourrie de nostalgie, d'anecdotes, de souvenirs. Idylles maladroites, premières déceptions, grands bonheurs, petites peines, il filme avec tendresse cette ouverture à la vie, ce pas lent vers l'âge adulte au rythme des apprentissages, où l'on reconnaîtra Stévenin ou Thévenet faisant leurs premières armes. Léger, grave, touchant, enlevé, L'Argent de poche papillonne, et reste comme une oeuvre à part dans la filmographie d'un des piliers de la Nouvelle Vague.